Pauline ASSATHIANY
À l’été 2017, Pauline Assathiany ouvre une boîte de conserve et se blesse à la main, elle passe alors un nombre infini d’heures dans des cabinets médicaux où elle décèle des gestes curatoriaux dans les reproductions d’œuvres affichées dans les salles d’attentes. Ce constat vient nourrir une réflexion plus large sur les musées, et les objets dérivés fabriqués depuis les œuvres. Elle photographie ainsi en jouant de ce que le musée supporte, accepte ou rejette.